De fotoreeksen op deze pagina zijn afkomstig van Francis Asaert, die toen de enige professionele begeleider van onze sekties Sioux en Copains was (de andere opvoeders waren de hoge-school studenten van de HISS).

Uitleg over de beplantingen Onder begeleiding van pappie Francis

De foto's werden op plakkaten geplakt en in de sekties bevestigd. Zijn manier van schrijven komt mij bekend voor... Ook de resultaten van de verschillende sportieve aktiviteiten werden aan de muur van de sekties bevestigd.

Boy scout un jour, boy scout toujours, il prenait son job à cœur; les photos présentées sur ce site proviennent de paneaux informatifs qu'il plaçait régulièment dans les sections. Son écriture unique me revient à l'esprit.

En 1970, le terrain situé à l'ouest du prévent (les "nouveaux terrains") faisait également partie de notre territoire de jeu. Nous étions beaucoup plus nombreux à cette époque et les dunes ne résistaient pas à notre présence répétée. Seule solution pour éviter que les dunes ne disparaissent et que la mer ne s'engouffre dans la brèche: planter des fagots! Plus tard, ce territoire est devenu la réserve naturelle du Kijkuit, gérée par Théo de Brandt, le professeur de biologie du prévent. Non seulement les nouveaux terrains étaient pourvus de plantations de fagots et d'oyats, mais aussi le grand puits (qui à force d'érosion devenait bien trop grand) et le versant nord des dunes.

Un pont Bailey engeambait le passage pour chevaux (bien visible sur la photo ci-dessus) et nous permettait d'accéder au terrain. Une fois que les nouveaux terrains furent transformés en réserve naturelle, plus besoin de pont.

De “Nieuwe terreinen” maken ook deel van het zeepreventorium (nu is dit een natuurreservaat). We gingen naar de nieuwe terreinen via een brug over de paardendoorgang. Eenmaal dat de nieuwe terreinen een natuurreservaat werd, werd de Baileybrug verwijderd. De paardendoorgang bestaat nog steeds, maar er zijn plannen om die ook af te sluiten.

Luchtfoto's Luchtfoto eind jaren '60 Luchtfoto's begin jaren '70

Het terrein gelegen ten westen van het zeepreventorium behoorde ons ook toe. Dit waren de "nieuwe terreinen" dat als speelterrein gebruikt werden. Een Bailybrug over de paardendoorgang vormde de verbinding tussen beide terreinen. Wij waren heelwat talrijker in die tijd en de duinen hielden het niet lang vol. Om erosie van de duinen tegen te gaan was er slechts één oplossing: takkebossen planten!. Naderhand zijn de nieuwe terreinen een natuurreservaat geworden. Er werden takkebossen en helmgras gepland in het nieuw terrein, rond het grote put (dat veel te groot aan het worden was) en op de noordflank van de duinen.

In die tijd vond men het normaal dat kinderen takkebossen zouden planten. Tegenwoordig riskeer je een gevangenisstraf want het wordt aangezien als kindermisbruik. Het is misschien niet goed zichtbaar op de foto, maar van de lucht gezien vormen de takkebossen volgende tekst:

Vergelijking luchtfoto's jaren '60 en '70

Luchtfoto's begin jaren '70
Een paar jaar later zijn de nieuwe terreinen volgeplant met takkebossen. Intrinsiek hebben de takkebossenplantages geen negatieve invloed gehad op de ontwikkeling van de kinderen (het was gewoon een afwisseling, takkebossen planten in plaats van intervallopen).

La différence entre les photos de la fin des années '60 et le début des années '70 est éloquente: tous les "nouveaux terrains" ont été plantés de fagots. En soi, planter des fagots n'était pas néfaste; c'était même un agréable divertissement comparé aux courses d'interval et à la piste d'obstacles.

"Als ploegen landen worden Als jokers ingezet kunnen worden Zijn estafettes extra plezierig!" schreef pappie Francis. Voor mij gold: Als ploegen landen worden... dan wordt ik apatride! Pappie Francis deelt de lakens uit... ...waarop onze nummers geschreven zijn. Le début du jeu

Si l'hiver nous apportait sa moisson de fagots à planter, l'été nous apportait son lot de jeux. Te rappelles-tu des Jeux sans frontières (présentés à la RTB par Paule Herremann (disparue en 1991 "dans un grand éclat de rire") et Guy Lux, Léon Zitrone et Simone Garnier à l'ORTF). Le prévent se devait d'organiser sa version des jeux sans frontières. Dès que les sections étaient rangées par pays, je me sentais irrésistiblement devenir apatride et tu ne me voyais plus pour le reste de la journée. Les jeux, c'est bon pour les autres.

Un jeu d'estafette tout ce qui a de plus classique, mais mis au jour "international". Pendant que les enfants se démènent, les pappies attendent. Au fond de l'image, tu vois les murs d'enceinte blancs peints de dessins d'enfants. En un sens, le prévent n'était pas si mal que cela...

En plus des estafettes du style "jeux sans frontières", le prévent suivait l'actualité sportive de près et avait ses olympiades. Si tu avais le malheur d'être présent lors d'une année olympique (j'ai subi deux olympiades), tu avais ta ration d'épreuves sportives en tout genre: saut en hauteur, saut en longeur, course à pied à la plage, course à pied dans les dunes, course autour du batiment. Chaque jour, pappie Francis écrivait de son écriture typique les résultats sur de grandes feuilles qui étaient placées dans le couloir des sections. Je croupissais chaque fois à la dernière place, sauf pour mon activité préférée: m'encourrir du groupe.

Pappie Francis est devenu par après chef du matériel. On pouvait s'addresser à lui pour tous les articles de jeu, mais gare à toi si tu osais ne pas rapporter le matériel! Son sobriquet boy scout "le hamster indécrottable" lui a été attribué dans les années 1975, comme l'indique l'article dans A-magazine (7 décembre 1976).